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Animaux de compagnie

ANIMAUX DE COMPAGNIE

« La façon dont une nation s’occupe des animaux reflète fidèlement sa grandeur et sa hauteur morale. » - Gandhi. Dans les sociétés occidentales développées et urbanisées, les animaux de compagnie, objets d'attachement nous rassurent par leur présence. Ils rompent la solitude et l'isolement social. Mais combien coûte à la planète l’affection qu’ils peuvent nous donner ?

Indispensable compagnon de l’homme, l’animal de compagnie a sa place dans un foyer sur deux en France. Comme son nom l’indique, un animal de compagnie est destiné, non pas à travailler pour l’homme ni à lui fournir de quoi se nourrir mais juste à être présent auprès de lui. L'animal de compagnie est un objet d'attachement dont la présence est rassurante. Il rompt la solitude et l'isolement social. C'est une aide précieuse pour certaines catégories sociales, notamment les personnes âgées et les enfants. Seulement voilà : à l’heure où tous nos gestes quotidiens comptent dans notre bilan environnemental, le choix d’un compagnon à poils, à plumes ou à écailles devrait intégrer des critères environnementaux. Le mode de vie de l’animal, son alimentation, les produits que son propriétaire achète pour lui font que l’animal exerce sur l’environnement un impact plus ou moins élevé. Petit tour d’horizon des enjeux liés à la présence de ces petites (ou grosses) bêtes chez nous et inventaire des solutions écolos à notre portée !

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Le saviez-vous ?

  • Le marché de l’animal domestique est impressionnant : environ 30 milliards d’euros par an aux Etats-Unis et 7,5 milliards au Japon, par exemple. En France, où 52 % des foyers possèdent au moins un animal de compagnie, on compte 9,7 millions de chats et 8,8 millions de chiens ; le chiffre est encore plus impressionnant si l'on ajoute les rongeurs (2,3 millions), les oiseaux (8 millions) et surtout les poissons (28 millions, mais souvent à plusieurs dans les aquariums). Ces chiffres placent la France en tête en Europe, devant la Grande-Bretagne (5,9 millions de chiens et 4,5 millions de chats) et l'Allemagne. Le marché des animaux de compagnie se développe rapidement et touche divers aspects : le commerce des animaux eux-mêmes, les animaleries ; la distribution d'aliments spécialisés et de plus en plus sophistiqués, qui est de loin le secteur le plus important ; la médecine vétérinaire, les vétérinaires de ville sont désormais bien plus nombreux que les vétérinaires ruraux ; le toilettage (essentiellement des chiens), les prestations de services pour la garde des animaux en cas d'absence, pour les assurances soins et maladies, pour l'enterrement des animaux familiers et l'aide psychologique lors du deuil.
  • L’être humain aime s’occuper d’animaux, et il semblerait même que cela soit bon pour sa santé : ainsi selon une étude américaine 28% des cardiaques qui ont survécu à des attaques possédaient un animal domestique, alors que seulement 6% des patients sans animal de compagnie survivent dans les mêmes circonstances ; une autre étude a montré que l’espérance de vie des personnes âgées dans les maisons de retraite était supérieure lorsqu’on leur demandait de s’occuper au quotidien d’un animal de compagnie. Evidemment, les animaux étouffent parfois sous cette affection débordante : en Angleterre, 50% des animaux domestiques sont obèses. Et les animaux ne sont pas que bons pour la santé : ainsi les enfants qui grandissent avec deux animaux de compagnie ou plus auraient 75% de chances en plus de développer des allergies ultérieurement.
  • Si le nombre d’animaux de  compagnie augmente chaque année, il dépasse désormais largement les « 30 millions d’amis » de l’émission animalière culte créée dans les années 70 par Jean-Pierre Hutin. Dans les pays occidentaux, le chat et le chien sont des animaux de compagnie historiques, domestiqués depuis des siècles mais ils sont rejoints par toutes sortes d’animaux aussi improbables les uns que les autres, certains impossibles à apprivoiser, d’autres difficiles à garder en captivité tant ils ont besoin de conditions spécifiques de température, d’humidité ou d’espace. Nous sommes entrés dans l’ère des « nouveaux animaux de compagnie », parmi lesquels furets, lapins nains (ou pas), rats, souris, cochons d’Inde, hamsters, écureuils, chinchillas, gerbilles, furets, chiens de prairie …  perroquets, cacatoès, mais aussi plus récemment pythons, iguanes, tortues, crocodiles, araignées ou encore primates de tout poil.
  • Ce regain d’intérêt, pour ne pas dire « mode », pour des animaux exotiques ne doit pas faire oublier que de nombreuses espèces d’animaux sauvages sont en voie de disparition : quelque 5000 espèces animales sont protégées par la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvage menacées d’extinction) et un certain nombre d’entre elles sont inscrites à l’annexe I des espèces dont le commerce est interdit (http://www.cites.org/fra/app/appendices.shtml). L’Europe est le principal marché pour le commerce de NAC : l’essentiel des perroquets vendus au niveau mondial est destiné au marché européen. Iguanes, caméléons, tortues, serpents et mygales seraient les bêtes les plus demandées sur le territoire français, avec le risque qu’elles soient prélevées frauduleusement de leur milieu naturel. De plus, le taux de perte durant le transport entre le lieu de prélèvement et le lieu de vente peut être très élevé : le perroquet gris du Gabon peut enregistrer une mortalité de 70% des individus sur l’ensemble du circuit commercial, ce qui peut conduire à augmenter les prélèvements d'individus dans leur habitat pour satisfaire la demande. Selon l’IUCN (l’Union mondiale pour la nature), la France a importé au cours des années 90 sur son territoire près de 800 000 oiseaux, 630 000 invertébrés, 200 000 reptiles, 29 000 mammifères et 4 000 amphibiens appartenant à des espèces inscrites à la CITES.
  • La mode des animaux exotiques a hélas pour conséquence l’augmentation du trafic illégal : le trafic d'animaux domestiques est le troisième en termes d'importance au niveau mondial, après les armes et la drogue, avec, à la clé, le déclin des populations sauvages menant à leur disparition.
  • Malgré cet attachement aux animaux de compagnie de nos concitoyens, la SPA (société protectrice des animaux) dénonce tous les ans, l’abandon de quelque 100.000 chiens et chats, ce qui lui a permis de remettre à la France la palme européenne de l’abandon en mai 2009 au moment du festival de Cannes. La fondation 30 millions d’amis a lancé sur le même thème une grande campagne de sensibilisation aux faux airs de thriller intitulée « un crime ordinaire » qui met en scène un homme et une femme « ordinaires ». L’abandon est pourtant puni par la loi : il peut en coûter jusqu’à deux ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende (Art. 521-1 du Code pénal).
  • Pour les NAC exotiques, l’abandon représente souvent un risque pour l’environnement : ainsi les tortues de Floride, massivement importées en Europe et rejetées par leurs maîtres dans des points d’eau, sont très voraces, et capables de détruire faune et flore d’un étang. Capables de vivre 50 ans et de peser jusqu’à 25 kg, elles menacent encore, en Suisse et en France, la cistude d'Europe, une tortue aquatique indigène, même si leur importation en France est interdite depuis 1997. Autre exemple d’animal sauvage apprivoisé puis rejeté dans la nature par ses propriétaires, l’écureuil de Corée est une menace pour la biodiversité : vendus dans les animaleries depuis les années 70, ces petits animaux pourraient favoriser la transmission et le développement de la maladie de Lyme. Au total, il y aurait quelque 20.000 animaux de cette espèce dans les forêts françaises, en particulier dans l’Essonne. Autre animal devenu un fléau, la grenouille taureau a envahi la région Aquitaine où elle représente une menace pour la faune locale puisqu’elle se nourrit 50 % d’autres amphibiens, de crustacés, d’insectes et même d’oisillons, provoquant ainsi des déséquilibres biologiques dans les cours d’eau et les étangs qu’elle envahit (voir le site du programme pluriannuel de lutte contre la Grenouille taureau du sud-ouest de la France : www.grenouilletaureau.net). Au printemps 2009, des promeneurs éberlués se sont même trouvés nez à nez avec un python royal confortablement installé dans un arbre du parc des Buttes Chaumont à Paris !
  • Passons maintenant aux espaces urbains où la présence de chiens représente une nuisance environnementale bien plus importante que ce que croient la plupart des gens : à Toulouse par exemple, ce sont quelque 53 000 chiens qui produisent 5 tonnes de déjections par jour et qui coûtent à la ville chaque année 700 000 € en nettoyage. Même ordre de grandeur à Paris qui estime héberger 150 000 chiens produisant 16 tonnes de déjections par jour. Au-delà du désagrément, voire du danger qu’il y a à glisser sur une crotte de chien, ces excréments véhiculent des parasites synonymes de risques d’infection grave, en particulier pour les enfants. C’est pour cela qu’il est recommandé de ne pas laisser toutou faire ses besoins dans le caniveau (ni évidemment sur le trottoir et encore moins dans le bac à sable du square…).  Tout propriétaire de chien doit avoir appris aujourd’hui à « ramasser » afin d’agir en bon citoyen ou tout simplement pour éviter l’amende imposée par la plupart des municipalités en cas d’infraction à cette règle : à Paris, il en coûtera aux récalcitrants une amende de 162 €.
  • Rendons-nous maintenant à la maison (ou à l’appartement) : susceptibles d’être infestés de parasites, en particulier des tiques et des puces, les animaux de compagnie doivent recevoir un traitement à base d’insecticides pour éviter l’invasion  des petites bêtes. Problème : les molécules de synthèse utilisées dans les produits les plus courants du commerce n’ont rien à envier aux pesticides utilisés en agriculture. Un des insecticides les plus fréquemment appliqués pour lutter contre les puces et très efficace, le Frontline de Bayer, a pour principe actif du fipronil®, la molécule utilisée dans le Regent, impliqué dans la fameuse histoire des abeilles. Autant le savoir ! D’autres molécules de synthèse, potentiellement polluantes, sont présentes dans les anti-puces et viennent s’ajouter au cocktail chimique auquel nous sommes exposés au quotidien. Le chien, qui entre et sort de la maison, est de surcroît un vecteur de pollution : le Battelle Memorial Institute à Columbus dans l’état de l’Ohio aux Etats-Unis a ainsi démontré que la contamination intérieure en pesticides suivant le traitement d’une pelouse provient pour 63 % du chien qui ramène avec ses pattes et sur sa fourrure les pesticides répandus à l’extérieur, le reste étant véhiculé par les chaussures de la personne ayant appliqué le produit.
  • A la maison toujours, il faut s’attendre à ce que ces animaux, surtout les plus sauvages, pas vraiment « domesticables », puissent se révéler dangereux pour l’acquéreur et son environnement familial (morsures, griffures) ; certains animaux vendus seuls vivent dans la nature en colonie (comme les chiens de prairie ou les écureuils de Corée), ce qui entraine parfois des troubles du comportement tels que l'agressivité. Autre souci potentiel : les animaux de compagnie, en particulier les NAC, peuvent transmettre à l’homme diverses maladies ou infections, les zoonoses et l’arrivée dans les foyers de toutes sortes d’animaux exotiques s’accompagne actuellement d’une augmentation des risques allergiques comme l’atteste une publication scientifique française parue en 2009.
  • A la maison enfin, les presque dix millions de chats français utilisent 300 000 tonnes de litières, soit le même tonnage en déchets, un véritable enjeu environnemental puisque les litières proposées finissent bien souvent avec nos déchets ménagers.
  • Pour finir, il ne faut pas perdre de vue l’impact de nos animaux familiers sur le changement climatique : eux aussi ont une empreinte carbone que l’organisation click4carbon (click4carbon.com) estime, pour un chien, à 1,75 tonnes d’équivalent CO2 par an, sans préciser la taille du chien, son lieu de résidence, son régime alimentaire, si sa niche est climatisée ou s’il fréquente, pendant les vacances, de ses maîtres des clubs de luxe tels que le Paradise luxury pet for dogs en Floride (www.paradisefordogs.com), sorte de Club Med pour canins. De toute façon, on s’en doutait : si l’on veut réduire son empreinte carbone, il faut aussi penser à celle de ses animaux familiers. Comme pour les humains, cette empreinte carbone tient beaucoup d’une part à leur alimentation, surtout pour les chiens, chats et autres carnivores, et aux produits que nous achetons pour eux.
  • Il n’y a pas que l’alimentation à surveiller : on veillera à ce que Toutou ou Minou ou encore Coco … n’accumule pas inutilement des jouets et accessoires divers fabriqués en Chine, en plastique toxique décoré à la peinture au plomb dont il se servira à peine, blasé qu’il est devant une telle abondance…
  • On allait oublier mais les défenseurs des animaux sont là pour nous le rappeler : un animal n’est pas un être humain ! L’anthropomorphisme, qui consiste à plaquer sur les animaux des comportements humains (les habiller, leur faire consommer les mêmes repas qu’au reste de la maisonnée) est à proscrire. Chacun à sa place !
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Les trucs verts à connaître

    1. RÉFLECHISSEZ-Y À DEUX FOIS AVANT D'ACCUEILLIR UN ANIMAL CHEZ VOUS
Un animal représente une bouche de plus à nourrir ! Evitez l’achat d’impulsion d’un bébé animal et renseignez-vous sur la croissance prévisible de l’animal pour être sûr d’avoir la place de le loger confortablement. En moyenne, un chien coûte environ 1.500 euros par an, et un chat 800 euros. Il faut s’assurer que l’on pourra assumer ces frais pendant les 15 ans de vie d’un chien ou d’un chat (50 ans pour un crocodile !). Pensez au budget nécessaire pour nourrir, soigner et éventuellement faire garder l’animal en votre absence. Si vous tenez absolument à avoir un animal exotique, assurez-vous qu’il appartient bien à une espèce dont le commerce est autorisé en France et … que vous pourrez le faire prendre en charge pendant vos absences : il est moins facile de faire garder un python qu’un chat!

    2. PRIVILÉGIEZ L'ADOPTION
Visitez les foyers où tous les animaux sont stérilisés et vaccinés. Fuyez absolument les ventes d’animaux sur Internet, y compris les offres émanant de particuliers.

    3. N’ESSAYER PAS D'ADOPTER DES ANIMAUX DANS LA RUE

Si vous trouvez dans la nature des « animaux de compagnie », n’essayez pas de les capturer vous même mais adressez-vous à une association qui s’occupe de ce type de problèmes : la SPA s’il s’agit d’un animal domestique commun, ou selon les animaux repérés, une association spécialisée : Cistude Nature si vous repérez des grenouilles taureaux (écrire à information@grenouilletaureau.net en précisant la (les) commune(s) et le(s) site(s) concernés, si vous avez vu ou entendu des individus, à quel stade (têtards, adultes, pontes) et bien sûr à quelle période). Pour un animal exotique ou un NAC (Nouveaux Animaux de Compagnie), adressez-vous au Refuge de l'Arche (tél: 02 43 07 24 38). Pour un reptile, contactez l'Aquarium de Trouville (tél: 02 31 88 46 04), et pour un oiseau contactez la Ligue de Protection des Oiseaux (tél: 05 46 82 12 34). Demandez le cas échéant conseil à un vétérinaire.

  4.CHOISISSEZ DES PRODUITS RESPECTUEUX DE L'ENVIRONNEMENT
Pour votre chat, choisissez une litière 100 % naturelle comme celle en chanvre 100 % biodégradable et fabriquée en France en vente sur www.toutallantvert.com ou encore les litières du fabricant allemand Cat’s Best comme la litière Premium sans parfum fabriquée à partir de fibres de sapins et d’épicéas locaux non traités, bio-dégradable, compostable et évacuable dans les toilettes ou encore la version Universal pour tous les petits animaux, lapins, hamsters, chinchillas, furets, cochons d’Inde ou oiseaux. Autre option intéressante, la litière végétale au peuplier d’Almo Nature, que l’on peut composter mais pas jeter dans les toilettes proposées par Albert le chat. En grande surface, faites le choix d’un produit porteur de l’éco-label NF-Environnement. Pour les traitements anti-parasitaires externes, essayez les produits naturels : sachant que leur efficacité est moins durable, il faut les appliquer plus souvent et veiller à inspecter l’animal régulièrement. Si vous ne vous en sortez pas avec ces produits, n’utilisez pas les produits de synthèse en aérosol à vaporiser sur le pelage de votre animal, mais choisissez plutôt un produit conditionné en pipette qui limitera les rejets de substances actives dans l’environnement. De façon générale, en choisissant comme produits de soin des produits naturels et non toxiques, on réduit les risques de pollution des éco-systèmes et de notre environnement domestique. Pour les shampooings et déodorants, lisez avec attention les étiquettes puisqu’il n’existe pas de label « bio » pour les cosmétiques pour animaux.

    5. CHANGEZ LE RÉGIME DE VOTRE ANIMAL
Si votre animal, chien ou chat, est d’accord pour devenir végétarien, renseignez-vous auprès de (www.vegechat.org) ou essayez les croquettes végétales hypoallergéniques AMI pour chats et chiens commercialisées par Alternature. Prévoyez un suivi vétérinaire pour repérer toute carence nutritionnelle.

    6. RAMASSEZ!
Si vous résidez en ville et que les trottoirs sont jonchés de crottes de chiens, adressez-vous à la mairie pour suggérer une campagne de sensibilisation auprès des propriétaires d’animaux, voire, pourquoi pas, la mise en place de distributeurs de « sacs à crottes » dans les quartiers les plus sensibles…Pour Paris, rendez vous sur le portail Internet de la ville (www.paris.fr) où les rubriques chats et chiens vous permettent de trouver la liste des espaces verts accessibles aux chiens et de télécharger la brochure « bien vivre avec les animaux à Paris ».
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La question qui tue !

EST-IL ÉCOLOGIQUE D'AVOIR UN ANIMAL DE COMPAGNIE ?

Les mauvaises langues diront que la planète se passerait bien du ‘chien-chien à sa mè-mère’ et autres bestioles plus ou moins exotiques. En effet, entre la nourriture de la bestiole (en général de la viande (voir notre fiche-produit ‘Viande’)), les soins (antibiotiques, vaccins et autres produits nettoyants) ou même plus simplement l’importation de l’animal (certains poissons élevés en Asie sont transportés par avion !) sans tenir compte des « pollutions » générées par l’animal, il y a de quoi se poser des questions… Mais, quand on aime les animaux ou tout simplement quand on a besoin de leur compagnie, la question est à envisager sous un autre angle, celui de la raison et de la sobriété. Il ne tient qu’à nous de faire les bons choix : de même que nous allons vers des choix de vie plus respectueux de la planète, faisons les bons choix pour nos compagnons. Un animal en tant qu’être vivant (la déclaration universelle des droits des animaux proclamée à l’UNESCO en 1978 stipule que « le respect des animaux par l’homme est inséparable du respect des hommes entre eux ») a des besoins similaires aux nôtres, ni plus, ni moins.
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Où trouver ça ?

Où adopter un animal ?
• Par exemple à la SPA, société protectrice des animaux : http://www.la-spa.fr

Où acheter de la litière pour chat et hamster écologique ?

• Litière 100 % naturelle comme celle en chanvre 100 % biodégradable et fabriquée en France en vente sur www.toutallantvert.com
• Ou encore les litières du fabricant allemand Cat’s Best
• La litière Premium sans parfum fabriquée à partir de fibres de sapins et d’épicéas locaux non traités, bio-dégradable, compostable et évacuable dans les toilettes
• La litière végétale au peuplier d’Almo Nature, que l’on peut composter mais pas jeter dans les toilettes proposées par Albert le chat (www.albertlechat.fr)

Où acheter des produits nettoyants ?
• En grande surface, faites le choix d’un produit porteur de l’éco-label NF-Environnement

Où trouver des solutions pour convertir mon petit carnivore au végétarisme ?
www.vegechat.org
• Croquettes végétales hypoallergéniques AMI pour chats et chiens commercialisées par Alternature (www.alternature.com).
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